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Article: Interview — Julie C., entre marketing, voyages & méditation

Bien-être

Interview — Julie C., entre marketing, voyages & méditation

Marketing nature et méditation

Nous avons été inspirés par le lifestyle de Julie C, parisienne travaillant dans le marketing digital tout en alliant méditation, yoga et randonnées. Nous avons discuté de ses expériences marquantes lors de ses voyages, de son rapport à la nature et de sa relation aux soins cosmétiques.

Bonjour Julie, peux-tu te présenter ?
J’ai la trentaine, j’habite à Paris. Je suis née près des montagnes et j’ai grandi à Bordeaux. Dans la vie je travaille dans le e-commerce, j’ai eu différents postes dans le marketing et la gestion de projets. En dehors du travail, j’aime bien voyager mais aussi profiter de la vie parisienne : aller au restaurant, sortir me promener dans cette belle ville. Je fais également du yoga !

Que préfères-tu dans ce sport ?
Cela fait bientôt 10 ans que je fais du yoga. Ce que j’aime c’est qu’à différentes périodes de ma vie j’y trouve différentes choses. Je pense que dans un premier temps j’avais pris ça comme une activité physique. Une certaine période cela m’a aidé à me connecter à mon corps et à apprécier les sensations. À d’autres moments j’ai trouvé que ça pouvait m’aider à me connecter avec mes émotions et à les exprimer.

« Je pense que l’équilibre hormonal est fragile et qu’il faut en prendre soin. »

Quel type de yoga pratiques-tu ?
Je suis curieuse, dont j’ai testé plein de types de yoga. J’ai commencé avec du « Vinyāsa », qui est une version plutôt dynamique. J’ai testé le « Haṭha », qui est plus lent, on prend plus notre temps pour les postures. J’ai aussi testé le « Bikram », un yoga pratiqué dans des pièces chauffées à au moins 40 °C, mais personnellement j’ai trouvé ça trop intense. J’ai également testé le « yoga des hormones.

Pourquoi as-tu été attirée par le yoga des hormones ?
J’étais tombée sur des ateliers à Paris et la thématique m’a intéressée. Je pense que l’équilibre hormonal est fragile et qu’il faut en prendre soin. Le système endocrinien est impressionnant, il influe sur notre humeur, sur notre personnalité par moment, et la santé bien sûr. Quand les hormones ne vont pas, on n’est pas nous-même. Je cherche depuis presque 10 ans maintenant des produits cosmétiques sans perturbateurs endocriniens pour ces différentes raisons.

Trouves-tu facilement des soins sans perturbateurs endocriniens ?
J’ai dû tester beaucoup de produits, et m’appuyer sur les applications de notation aussi.

Où achètes-tu tes soins d’hygiène-beauté ?
J’ai longtemps acheté mes soins en supermarché. Il y a eu un moment clé où l’on a commencé à trouver des soins « 0% ». Ils n’étaient pas forcément 100% clean mais sans paraben, sans parfum… c’était déjà ça.

J’étais sensibilisée depuis jeune à prendre soins de ma peau : je suis née avec de l’eczéma. J’ai toujours utilisé des crèmes hydratantes sans parfum par exemple. Je me suis orientée à l’adolescence vers des produits 100% naturels pour soigner mon eczéma.

J’ai eu beaucoup de ratés avec les cosmétiques naturels, comme des problèmes d'odeur désagréables ou de textures étranges...

On applique des ingrédients sur notre peau que jamais l’on mettrait dans notre bouche. Alors que la peau est perméable !

Vises-tu le zéro déchet ?
Étudiante j’ai commencé à diminuer ma consommation de plastique en utilisant des soins solides. Ce que j’ai aimé le plus à l’époque ce n’était pas forcément l’aspect minimaliste des packagings mais plutôt l’idée de mettre sur sa peau des choses que l’on pourrait manger. Parfois on applique des ingrédients sur notre peau qui sont dérivés de la pétrochimie, que jamais l’on mettrait dans notre bouche. Alors que la peau est perméable. Mais je pense que c’est un rapport qui est en train d’évoluer. De plus en plus nous ressentons le besoin de nourrir notre peau comme on nourrirait son estomac, avec le même type d'ingrédient.

Sans transition — Quel est ton voyage le plus marquant ?
Le Népal : une vraie découverte culturelle. J’ai visité des temples et des villes superbes. Ensuite j’ai continué en faisant un trek dans la montagne avec un petit groupe, pendant 5 jours. On est allés très haut, jusqu’à 4500 mètres. C’était très dur mais vraiment magnifique.

Tu parles de difficultés. Quelle était ta motivation pendant ces moments difficiles ?
Je me sens tout simplement bien quand je suis dans la nature et encore plus quand je suis à la montagne, je ne sais pas l’expliquer. La sensation d’être face à des paysages grandioses et de se sentir tout petit, je trouve que ça fait du bien.

Pourquoi as-tu fait le choix de partir en retraite de méditation ?
J’ai en effet participé à une retraite silencieuse de 7 jours dans un monastère bouddhiste en Thaïlande. Je connaissais déjà les bases de la méditation en plein conscience mais c’était l’occasion pour moi d’aller plus loin, d’apprendre à méditer plus longtemps. C’était aussi l’occasion de me familiariser avec le bouddhisme. C’était dur mais je suis contente de l’avoir fait. Ça m’a permis d’amener la méditation dans la vie de tous les jours et de mieux me connaître.

 J’ai l’impression que les doses maximales autorisées ne tiennent pas compte du fait qu’on utilise beaucoup de produits cosmétiques différents au cours d’une même journée.

Le mode de vie imposé devait être très minimaliste n’est-ce pas ?
En effet, il était par exemple interdit de se maquiller, ça faisait partie du règlement. L’idée c’était « nous ne sommes pas là pour être vus ».

Quelle est ta relation avec les soins cosmétiques en général ?
Certains jours c’est une corvée, à d’autres moment c’est un moment de plaisir.

Je ressens aujourd’hui, depuis peu, le besoin d’avoir un nombre réduit de produits de soins d’hygiène-beauté.

As-tu vécu une « prise de conscience » ou as-tu constaté une évolution dans ta consommation de produits cosmétique ?
J’ai de l’eczéma qui a réapparu il y a deux ans, donc je fais encore plus attention à ce que j’utilise.
Je suis passée à une grande majorité de produits solides, je tends de plus en plus vers le zéro déchet. J’utilise depuis 1 an du shampoing en poudre. L’avantage par rapport au solide c’est qu’il n’y a pas de problématique de gaspillage avec un pain de savon qui se dessèche à la fin et qui devient inutilisable.

On accepte des choses en cosmétique que l’on n’accepterait pas en alimentaire.

Quel est le sujet que tu souhaiterais clarifier au sein de l’industrie cosmétique ?
Le sujet le plus choquant selon moi sont les perturbateurs endocriniens. J’ai l’impression que les doses maximales autorisées ne tiennent pas compte du fait qu’on utilise beaucoup de produits cosmétiques et plein de produits de ménages différents au cours d’une même journée, et que si on cumule tout ça, même si on utilise que des produits qui respectent la législation française et européenne, on explose déjà tous les quotas considérés sans danger pour la santé. C’est ce qu’on appelle l’effet cocktail. Je trouve qu’on ne trouve pas assez d’informations là-dessus sur les packagings des produits.

On accepte des choses en cosmétique que l’on n’accepterait pas en alimentaire. Je pense que c'est en train de changer.

On a cherché à améliorer et à assainir l’alimentation d’abord (moins de produits transformés, moins de conservateurs) mais c’est aujourd’hui au tour de la cosmétique (listes d’ingrédients plus courtes, moins d’eau et donc de conservateurs…).

Utiliser un produit en pensant qu’il nous fait du bien et à la planète aussi, c’est une façon d’amener du positif dans son quotidien, du sens et du bien-être.

Lorsque tu pars en randonnée, quel est le produit d’hygiène-beauté indispensable que tu emmènes systématiquement ?
J’amène avec moi seulement des produits solides : savon, shampoing, après-shampoing. J’en coupe juste un petit bout, c’est ultra petit et léger.
La plus grosse problématique c’est qu’il n’y a pas de sèche-cheveux en refuge de montage. Je ne peux du coup pas me laver les cheveux (il fait souvent froid), j’ai donc besoin de shampoing sec. En revanche je n’utilise plus de shampoing sec en aérosol depuis longtemps : ça participe aux trous dans la couche d’ozone, c’est explosif, inflammable, ça créé beaucoup de déchet, c’est encombrant, il y a des risques d’inhalation… Le format saupoudreur du shampoing sec CLARIFICATION me convient parfaitement.

    Qu’évoque pour toi le mot « Clarification » ?
    Donner du sens.
    Je pense que les gestes du quotidien sont importants, ce sont ceux que l’on répète tous les jours. Selon moi, utiliser un produit en pensant qu’il nous fait du bien et à la planète aussi, c’est une façon d’amener du positif dans son quotidien, du sens et du bien-être.

    Quel est ton produit CLARIFICATION favori ?
    La Poudre Volume — Shampoing Sec parce que ça me prend 30 minutes de me laver les cheveux et certains jours je préfère faire autre chose de ce temps, comme de la peinture ou du yoga.



    Son coup de cœur :

    La Poudre Volume — Shampoing Sec

    La Poudre Volume

     

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